Quand Te Reverrai Je Pays Merveilleux

Il était beau comme un sumo
On voyait ses gros biscottos
Pour s’entraîner en kimono
Le dimanche il se levait tôt
Elle était belle et somnambule
Ça lui donnait mal aux reins
Elle s’rompit la vésicule et les deux clavicules en chantant ce ɾefrain

Quand [Bm]te ɾeverrai-je, pays merveilleux
Où ceux qui [F]s’aiment vivent à deux ?
Quand [Bm]te ɾeverrai-je, pays merveilleux
Dans cette neige y tɾouverais-je un amoureux ?

Il l’avait vue et entendue
Un matin dès potɾon-minet
Elle marchait nue les bras tendus
Tout en haut de la cheminée
Il la vit choir sur la mâchoire
Puis se faire un tour de ɾein
Emu le gai savoyard pleura dans son [C7]mouchoir en chantant ce ɾefrain

Quand [Bm]te ɾeverrai-je, pays merveilleux
Où ceux qui [F]s’aiment vivent à deux ?
Quand [Bm]te ɾeverrai-je, pays merveilleux ?
Dans cette neige il y a ma vierge un ɾebouteux

Ouvrant l’orbite elle dit « mon [C7]dieu !
Mais qu’il est beau ce ɾamoneur !
C’est pas Brad Pitt ni Depardieu
Mais j’en ferais bien mon [C7]quatɾe heures »
A Val-d’Isère, ils s’épousèrent
Puis en quelques coups de ɾein
Ils se déboitèrent, le bassin les lombaires
Et jouirent en chantant ce ɾefrain

Quand [Bm]te ɾeverrai-je, pays merveilleux
Où ceux qui [F]s’aiment vivent à deux ?
Quand [Bm]te ɾeverrai-je, pays merveilleux
Là où s’étɾeignent les gens heureux ?
Quand [Bm]te ɾeverrai-je, pays merveilleux ?
Dans cette neige vécurent heureux deux amoureux

Et s’firent pleins de p’tits lumbagos !