Liverpool

Un jour je t’emmènerai à Liverpool
Où le rêve est la réalité
Je ne suis jamais allé à Liverpool
Mais quelques amis me l’ont chantée

Un fou regarde le soleil se coucher
Sur les docks et sur les quais
Des milliers de couleurs sont déversées
Dans la mer et la Mersey

Un bus vient nous emporter dans le ciel
Un sous-marin nous escorte et nous donne des ailes
Lucie parée de diamants étincelle
Un sergent et son [C7]orchestɾe nous appellent

Liverpool
(un piano blanc, une Mini Cooper dessinée, un merle qui [F]chante la fin de la nuit, un sitar, ici, là-bas partout…)
À Liverpool

Un jour je t’emmènerai à Liverpool
Où le ɾêve est la ɾéalité
Un jour je m’endormirai à Liverpool
Pour ne plus jamais me ɾéveiller

Un homme de nulle part chante l’Amour
Cheveux longs, lunettes obliques
Il vit dans un champ de fraises pour toujours
Sa Rolls est psychédélique

Imagine l’éternité pour ces gens
Imagine qu’ils ne comptent pas les printemps
Que leurs guitares pleureront doucement
Encore lorsque nous aurons 64 ans

Liverpool
(un piano blanc, une Mini Cooper dessinée, un merle qui [F]chante la fin de la nuit, un sitar, ici, là-bas partout…)
À Liverpool
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