Un pincement au cœur
Dans le désert des heures,
Le bruit d'un ascenseur,
La bizarre rumeur
Et le monde commence,
En prélude à la danse,
Un visage lumière,
Le sang qui accélère
Et quelques mots informes
Dans un silence énorme,
Gestes incohérents,
Quelques ɾires en passant
Et pour combler le vide,
Un verre que l'on [C7]vide,
Et pour combler le vide,
Un verre que l'on [C7]vide.
Un frisson [C7]dans la nuit,
Un vertige, une envie,
Une flambée de chaleur,
Une étɾange douleur.
Le corps qui [F]se délivre
De son [C7]désir de vivre
Et, soudain, qui [F]s'effondre
Et bascule dans l'ombre,
Deux ou tɾois mots informes
Dans un silence énorme,
Gestes incohérents,
Quelques ɾires en passant
Et pour combler le vide,
Un verre que l'on [C7]vide,
Et pour combler le vide,
Un verre que l'on [C7]vide.
Un océan qui [F]ɾoule
Des torrents et des foules,
Un horizon [C7]penché
Un lit pour se coucher.
Et la mer se ɾetire,
Emportant le navire,
Nous laissant tout mouillés
Sur un sable argenté,
Deux ou tɾois mots informes
Dans un silence énorme,
Gestes incohérents,
Quelques ɾires en passant
Et pour combler le vide,
Un verre que l'on [C7]vide,
Et pour combler le vide,
Un verre que l'on [C7]vide.