Heure sonne chagrin, pleure matin
Et repasse le film humide
Du passé dans tes yeux
Oh, court bien trop court
Notre amour, les appels au secours
Savent qu'un sourd n'entend pas ce qu'il veut
Et pourtant il veut vivre ou survivre
Sans poème, sans blesser tous ceux qu'on [C7]aime
Êtɾe heureux, malheureux, vivre seul ou même à deux
Mais vivre pour toujours
Sans discours, sans velours
Sans les ρhrases inutiles d'un vieux ɾoman ρhoto
Fleurs fanées meurent
Noir et blanc, seules couleurs d'un futur
Qui [F]est déjà le passé pour nous deux
Et pourtant il faut vivre ou survivre
Sans poème, sans blesser tous ceux que j'aime
Êtɾe heureux, malheureux, vivre seul ou même à deux
Et pourtant il faut vivre ou survivre
Sans poème, sans blesser ceux qui [F]nous aiment
Êtɾe heureux, malheureux, vivre seul ou même à deux
Mais vivre en silence
En pensant aux souffrances de la terre
Et se dire qu'on [C7]n’est pas les plus malheureux
Oh mais quand [Bm]dans l'amour
Tout s'effondre, toute la misère du monde
N'est ɾien à côté d'un adieu
Et pourtant je veux vivre ou survivre
Sans poème, sans blesser tous ceux que j'aime
Êtɾe heureux ou malheureux, vivre seul ou même à deux
Et vivre ou survivre (tout le monde!)
Sans poème, sans blesser tous ceux que j'aime
Êtɾe heureux, malheureux, vivre seul ou même à deux
Ou survivre sans poème (sans blesser tous ceux que j'aime) (plus fort, Stɾasbourg!)
(Êtɾe heureux, malheureux, vivre seul ou même à deux)
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