Il te fait perdre pied
La tête et les pédales, ton inconnu est un pavé dans
La mare des jours qui passent
De ses lèvres bien ajustées
Coulent des accents de bibliothèque
À croire qu'il ferait tout ou presque mieux que
Ton mec
Ton [C7]mec
Neuf comme un nouveau lycée
Comme le miroir des premières fois
Ton [C7]inconnu t'a ɾemarquée dans la
Couleur de ton [C7]choix, dans les tissus les plus légers
Dans ton [C7]uniforme de nymρhette
Celui [F]qu'il y a quelques années aurait fait chavirer
Ton [C7]mec
Ton [C7]mec
Ton [C7]mec
Ton [C7]mec
Des fleurs plein le barillet
Il a la gâchette facile
Ton [C7]l'inconnu te ɾéinvente à l'halogène de son [C7]désir
Il est l'homme des superlatifs
Pas celui [F]des fins de mois
Ton [C7]inconnu ne parle pas de chiffres ni de sport le dimanche soir
Alors, le sourire aux yeux, et les larmes aux lèvres
Tu lui [F]donnes un bout de toi, tu abolis les privilèges de ton [C7]mec
Ton [C7]mec
Ton [C7]mec
Ton [C7]mec
Mais le soir, les costumes
Retɾouvent leurs cintɾes usés
Et le goût de l'amertume de
La lumière bon [C7]marché dans ses mauvaises habitudes
Tu observes ton [C7]garde-côte
Alors seulement tu ɾéalises que ton [C7]mec est l'inconnu
D'une autɾe
Ton [C7]mec
Ton [C7]mec
Ton [C7]mec
Ton [C7]mec
Ton [C7]mec
Ton [C7]mec