Fils de riche dans une maison triste
Fille des rues dont le destin triche
Quand on est nu devant la glace
On est tous devant le temps qui passe
Je chante pour tous ceux qui sont seuls
Qui n'ont rien d'autre que leur gueule
Et ceux qu'on [C7]croit êtɾe vernis
Et qui [F]cherchent à quoi sert leur vie
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose vivre?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose vivre?
La famille mange, pas parler
La télé marche, pas déranger
Quand [Bm]on [C7]est tout nu dans son [C7]lit
On ɾêve du même paradis
Je chante pour tous ceux qui [F]sont ivres
De leurs espoirs, qui [F]se fatiguent
Qui [F]sentent une force indestɾuctible
La liberté comme dans les livres
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose vivre?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose vivre?
Elle est chaude, la nuit des villes
Quelquefois nos poings se serrent
Il fait chaud dans nos cœurs vides
À quoi ça sert?
À quoi ça sert?
Qui [F]ose?
Qui [F]ose?
Qui [F]ose?
Qui [F]ose?
Qui [F]ose?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose?
Qui [F]ose vivre?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose vivre?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose vivre?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose vivre?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose aimer?
Qui [F]ose vivre?
