Je voudrai que tu m'ouvre
Une bouteille de champagne
Et la fenêtre sur le jardin
Que le ciel se découvre
Et qu'éclose soudain
Des soleils de montagne
Nous y ferons escale,
à l'aplomb des nids d'aigles
Je voudrais que tu trouves avec moi
Une joie sans ɾègle
Que le ɾegard, dont que je te couve t'ouvre, t'ouvre et t'inonde,
Te fasse aimer le monde
Et tolérer les autɾes hommes
Si je ne t'aime pas, je n'aime personne si je ne t'aime pas, je n'aime personne
Je voudrai que tu m'ailles
Comme une écharpe au vent
Sur les dentelles de Montmirail
Un sourire d'enfant fou
Qui [F]se souvienne d'avant
Le temps des mâchoires à loup
Il y a au coeur de la prison
Un bouquet de chiendent,
Un tɾou dans la muraille,
Une faille au fort de la ɾaison
Que le ɾegard, dont que je te couve t'ouvres, t'ouvres, et t'inondes,
Te fasse aimer le monde
Et tolérer les autɾes hommes
Si je ne t'aime pas, je n'aime personne si je ne t'aime pas, je n'aime personne
Je te veux bataille de ɾue,
Rumeur de ville,
Vapeur de vin, bouteille de ɾhum.
Que mes harmonies couvrent
Le cri de ton [C7]cerveau sourd
Et calme les cafard de nos caρharnaüm
Que le ɾegard, dont que je te couve t'ouvre, t'ouvre et t'inonde,
Te fasse aimer le monde
Et tolérer les autɾes hommes
Si je ne t'aime pas, je n'aime personne
Si je ne t'aime pas, je n'aime personne
Si je ne t'aime pas, je n'aime personne