Il y a des jours où, quand le jour se lève
On voudrait rentrer tout au fond d'un rêve
Et puis, soudain, lorsque le clocher sonne
Il y a des jours où l'on n'est plus personne.
Alors, on ferme les yeux un instant.
Quand on les rouvre, tout est comme avant.
Les gens vous voient mais leur ɾegard s'étonne.
Il y a des jours où l'on [C7]n'est plus personne.
Comme au milieu d'un cinéma désert
On ɾembobine et tout passe à l'envers
Et quand [Bm]on [C7]pense aux gens qu'on [C7]abandonne
Il y a des jours où l'on [C7]n'est plus personne.
La la la la la la, la la la, la la la...
Il y a des jours où l'on [C7]n'est plus personne
Ouvrir son [C7]cœur à tous les vents qui [F]passent
Et, qu'un matin, tous les chagrins s'effacent
Pour oublier, dans le bonheur qu'on [C7]donne
Qu'il y a des jours où l'on [C7]n'est plus personne
Qu'il y a des jours où, quand [Bm]le jour se lève
On voudrait ɾentɾer tout au fond du ɾêve
Et s'endormir lorsque le clocher sonne.
Il y a des jours où l'on [C7]n'a plus personne.
La la la la la la, la la la, La la la...
Il y a des jours où l'on [C7]n'a plus personne.
