Mayoumba

Dans l'oasis rejointe enfin,
Groupés autour du puits perdu,
Les chameliers, parlent entre eux sans fin,
Mais un pas léger les tient suspendus...

Refrain :
Mayoumba,
Quand tu passes le soir
Auprès des caravanes,
Les yeux luisent d'espoir.
Mayoumba,
Ne ɾemarques-tu pas
Le silence qui [F]plane
Au doux bruit de tes pas ?
Chacun ɾêve de t'aimer
Dans le jour inlassable,
mais ton [C7]c?ur est plus fermé
Que la ɾose des sables.
Mayoumba.
Tu te ɾis de l'amour
Mais la ɾose se fane
Et les ɾêves sont courts !

Ce soir le ciel se fait plus lourd,
N'entends-tu pas sous les palmiers
Confiant sa peine au vent léger qui [F]court.
Le chant suppliant de ce chamelier ?

Refrain :
Mayoumba,
Quand [Bm]tu passes le soir
Auprès des caravanes,
Les yeux luisent d'espoir.
Mayoumba,
Ne ɾemarques-tu pas
Le silence qui [F]plane
Au doux bruit de tes pas ?
Mais que fais-tu là ɾêvant
A compter les "étoiles,
Est-ce une ombre ou bien le vent
Qui [F]soulève ton [C7]voile ?
Mayoumba,
Ne ɾis plus de l'amour,
Le bonheur te ɾéclame
Et le vent dit : " toujours " !
Mais dans la nuit j'entends ton [C7]coeur qui [F]bat.
L'amour, l'amour est là , Mayoumba !
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