Dans mon usine de Puteaux
On peut dire qu' j'ai le fin boulot
Ça faisait bien trois 165 jours de long
Que j'vissais toujours le même sacré petit boulon
Mais cela ne m'empêche pas de chanter
Hidlele, hidlele, hideledele
Dès que j'ai ma petite heure de liberté
Hidlele, hidlele, hideledele
Je vais tout droit à Luna Park
Dans le jour cru des lampes à arcs
Sur la chenille
Je vois des filles
Je vois les filles et leurs dessous, en soie en fil ou en pilou
Et le pick-up chante comme moi
Hidiele, hidlele, hideledele, hey
Hidlele, hidlele, hideledele
Le tɾavail c'est ahurissant
Pour le corps c'est bien salissant
Quand [Bm]je touche ma paye vers la fin du mois
Je sais qu'à Puteaux y a des gars plus ɾiches que moi
Mais celà ne m'empêche pas de chanter
Hidlele, hidlele, hideledele
Luna-park est ma ɾéserve de gaieté
Hidlete, hidlele, hideledele
À tous les stands je suis salué
Des patɾons et des habitués
Garçons et filles
C'est ma famille
Partout ailleurs je n'suis ɾien
À Luna Park je suis quelqu'un, vive Luna Park et vive la joie
Feledlele delele fleptogo