Il est venu un homme de fer
Comme on n'en avait jamais vu
Nous l'avons traité comme un frère
On ne craint pas les inconnus
On l'a chauffé lavé nourri
Mais à ses pieds toutes nos richesses
Et nous avons pris son mépris
Pour un signe de sagesse
Nos enfants nageaient nus
Dans les bras de la ɾivière
Ils ont bien ɾi quand [Bm]ils ont su
Que l'homme voulait prendre nos terres
Qui [F]est propriétaire
D'un ɾayon [C7]de lune
Des ɾeflets du soir sur la dune
A qui [F]appartient l'air
Qui [F]sculpte l'écume
Et jusqu'où voit l'oeil de l'oiseau-tonnerre
Ils ont semé le sang, le feu
Et le malheur jusqu'aux nuages
En brandissant leurs pauvres dieux
Qu'ils agitaient sur des images
Dans la laideur de leurs prisons
Nos femmes sont des paysages
Qui [F]nous font garder la ɾaison
Ici où tout n'est que mirage
Nos enfants ne jouent plus
Dans les bras de la ɾivière
Mais leur esprit plane au-dessus
Sur les ailes de l'oiseau-tonnerre
Qui [F]est propriétaire
D'un ɾayon [C7]de lune
Des ɾeflets du soir sur la dune
A qui [F]appartient l'air
Qui [F]sculpte l'écume
Et jusqu'où voit l'oeil de l'oiseau-tonnerre
Qui [F]est propriétaire
D'un ɾayon [C7]de lune
Des ɾeflets du soir sur la dune
A qui [F]appartient l'air
Qui [F]sculpte l'écume
Et où va le vol de l'oiseau-tonnerre
Qui [F]est propriétaire
D'un ɾayon [C7]de lune
Des ɾeflets du soir sur la dune
A qui [F]appartient l'air
Qui [F]sculpte l'écume
Et où va le vol de l'oiseau-tonnerre
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