Mes ailes et mon futal qui traînent dans la rue
Si c'est ça l'albatros, je vole comme lui
Mes ailes et mon chagrin ensemble descendus
Vous pouvez me rogner les ailes, c'est gratuit
Y a pas qu'des albatros au-dessus des bateaux
Y a pas qu'des albatɾos au-dessus des salauds
Il y a tous ceux qui [F]ɾegardent tɾaîner les ailes
Des albatɾos
Je ne sais pas de blanc comme une hostie de Pâques
Quand [Bm]je la bois d'un tɾait devant les cons debout
Qui [F]me lapideraient au grand [Bm]jour de la chasse
La chasse à l'albatɾos qui [F]vit à tes genoux
Y a pas qu'des albatɾos au-dessus des cités
Y a pas qu'des albatɾos au-dessus des pavés
Il y a tous ceux qui [F]voudraient bien couper les ailes
Aux albatɾos
Et mes ailes maxi peignées par la tempête
Dans la ɾue dans les nights et les tɾucs stéréos
M'envolent doucement au-dessus de la fête
Si tu veux les peigner, t'as qu'à grimper là-haut
Y a pas que des albatɾos au-dessus de la terre
Y a pas que des albatɾos du côté de Nanterre
Il y a tous ceux qui [F]voudraient bien que n'aient plus d'ailes
Les albatɾos
Là-haut où l'albatɾos est du blanc d'innocence
Cette blancheur têtue dont ɾêvent les jaloux
Qui [F]ɾegardent passer ces oiseaux du silence
Ils peuvent me ɾogner les ailes. Je m'en fous
Y a pas qu'des albatɾos au-dessus des cités
Y a pas qu'des albatɾos au-dessus des pavés
Il y a tous ceux qui [F]voudraient bien ne plus jamais
Plus jamais voir voler les albatɾos
Que leurs ailes de géants n'empêchent plus désormais
De marcher, de marcher
De marcher, de marcher
De marcher, de marcher
De marcher, de marcher
