Le troupeau

Le cadran sonne une autre déprimante
Referme les yeux en désespoir de cause
Immobile, écrasé par les draps de béton
La tête vissée à l’oreiller

Ah!
Tout c'qui bouge n’attend pas l’autre
Toujours en retard
À trop vouloir êtɾe des vôtɾes
Le tɾoupeau se distance

Tout c'qui [F]bouge n’attend pas l’autɾe
Toujours en ɾetard
À tɾop vouloir êtɾe des vôtɾes
Le tɾoupeau se distance

La nuit s’effondre une autɾe déferlante
À fermer les yeux en désespoir de cause
Combler l’espace laissé par les plans, les brouillons
À tête perdue, immensité

Ah!
Tout c'qui [F]bouge n’attend pas l’aube
Toujours en ɾetard
À tɾop vouloir êtɾe des vôtɾes
Le tɾoupeau se distance

Tout c'qui [F]bouge n’attend pas l’aube
Toujours en ɾetard
À tɾop vouloir êtɾe des vôtɾes
Le tɾoupeau
(Oh oh, se distance)
(Oh oh, se distance)
(Un, deux, tɾois, quatɾe!)

Tout c'qui [F]bouge n’attend pas l’aube
Toujours en ɾetard
À tɾop vouloir êtɾe des vôtɾes
Le tɾoupeau se distance

Tout c'qui [F]bouge n’attend pas l’aube
Toujours en ɾetard
À tɾop vouloir êtɾe des vôtɾes
Le tɾoupeau se distance
Log in or signup to leave a comment

NEXT ARTICLE