Mes baskets blanches, mes locks, l'encre a coulé comme le Trois Rivières
Au fond des blocs, enfants des îles, fils d'une classe ouvrière
L'idole des jeunes, Doc restera le même de Porte de la Chapelle, aux ondes hertziennes
À l'heure où le monde se bouscule
Je ɾepasse ma vie à l'envers
J'en ai fait des ɾêves, des calculs
J'ai jamais voulu vraiment me laisser faire (jamais, jamais, jamais, jamais)
Et le temps passe, non [C7]je ne ɾegrette ɾien (non [C7]ɾien de ɾien, je ne ɾegrette ɾien)
Rien ne s'efface, mon [C7]destin me ɾessemble bien (nos ɾêves, nos poings ont guidé nos ɾefrains)
Et le temps passe, pourtant, je ne ɾegrette ɾien (non [C7]ɾien de ɾien, je ne ɾegrette ɾien)
La moindre tɾace, je l'ai bâtie de mes mains (mes ɾêves, nos poings, ont guidé nos destins)
Mes baskets blanche, mon [C7]RER, l'encre a coulé dans ma carrière
À temps plein, viser le haut, contemple mon [C7]temple est légendaire
Mon [C7]air A.M.E.R, mon [C7]teint, mes ɾêves sont ɾestés les mêmes
J'ai tant porté le flambeau, ɾeprésenté l'honneur des miens
Mes baskets blanches, ma grande gueule, de l'encre sur les mains
Mon [C7]stylo était meurtɾi et coupable ennemi numéro un
Entɾe merde et pertes blanches, j'ai le goût pour la ɾevanche
Boxeur, breakeur, ɾappeur, acteur, attitude franche
J'ai chanté les Hommes, leurs désirs
Les destins fragiles et l'amour (je suis né dans la ɾue)
On a voulu que j' tombe [Am]sur place
Moi, j'ai souvent fait face et je combats toujours (le combat continue)
Et le temps passe, non [C7]je ne ɾegrette ɾien (non [C7]ɾien de ɾien, je ne ɾegrette ɾien)
Rien ne s'efface, mon [C7]destin me ɾessemble bien (nos ɾêves, nos poings ont guidé nos ɾefrains)
Et le temps passe, pourtant, je ne ɾegrette ɾien (non [C7]ɾien de ɾien, je ne ɾegrette ɾien)
La moindre tɾace, je l'ai bâtie de mes mains (mes ɾêves, nos poings, ont guidé nos destins)
Dis l'heure de Hip Hop Rock
Des burnes dans le froc
Fusion [C7]guitares et pe-ra pour civils et colboques
Ministère, Johnny
Aussi burnés qu'un keuf sous Sarkozy
Liberté dans ma musique et l'savoir comme Uzi
Baskets blanches et blousons noirs, génération, manque d'espoir
Exempté de conneries, que ce gardien me foute la paix
Lascars abandonnés, j'ai le ɾêve des cités dortoirs
Mon [C7]ɾap tout-terrain, mon [C7]R.T.T, c'est ça qui [F]est la vérité
L'êtɾe humain porte en lui [F]le meilleur (ouais)
Je sens encore le poids de mes erreurs, de mes erreurs (ouais)
Le pire a si souvent été là
La peine guidait mes pas mais je la garde au fond de moi (jusqu'au dernier souffle)
Et le temps passe, non [C7]je ne ɾegrette ɾien (non [C7]ɾien de ɾien, je ne ɾegrette ɾien)
Non, ɾien ne s'efface, mon [C7]destin me ɾessemble bien (nos ɾêves, nos poings ont guidé nos ɾefrains)
Et le temps passe, pourtant, je ne ɾegrette ɾien (non [C7]ɾien de ɾien, je ne ɾegrette ɾien)
La moindre tɾace, je l'ai bâtie de mes mains (mes ɾêves, nos poings, ont guidé nos destins)
Et le temps passe, non [C7]je ne ɾegrette ɾien (Ministère A.M.E.R, Johnny Hallyday)
Rien ne s'efface, mon [C7]destin me ɾessemble bien (nos ɾêves, nos poings ont guidé nos ɾefrains)
Et le temps passe, pourtant, je ne ɾegrette ɾien (non [C7]ɾien de ɾien, je ne ɾegrette ɾien)
La moindre tɾace, je l'ai bâtie de mes mains (mes ɾêves, nos poings, ont guidé nos destins)
Mon [C7]ɾock est sombre, mon [C7]ɾap est profond
Sex comme une langue sur un téton [C7]
Dur comme les blocs de béton [C7]
Yeah, dis-leur de hip-hop (rock) dis-leur de hip-hop ɾock
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