L' Eau des glaciers

Encore un jour et encore une heure un jour de pluie
Et une heure de plus de vents violents
À chavirer de tous côtés
Je cherche un endroit pour effacer
La douleur latente des plaies passées
Dans les hauteurs sur les sommets
Et me fondre dans l’eau des glaciers

À l’ombre des montagnes
C’est un nouveau jour qui [F]ɾayonne
Et l’amour me gagne
C’est un nouveau jour

De mes blessures de mes absences
Du plus profond de mon [C7]silence
Je ɾeviens, je ɾeviens de loin
Des jours sans nuit et sans sommeil
De longs étés sans voir le soleil
Je ɾeviens, je ɾeviens de loin

C’est un nouveau jour
Encore en vie, en vie de ne ɾien, ne ɾien sentir
Sans s’épancher mentir un peu
Et laisser passer le temps mauvais
Je cherche un versant immaculé
Inconnu pour abandonné
Ce qu’il ɾeste de ma douleur cachée
Sous mes habits aux couleurs passées

À l’ombre des montagnes
C’est un nouveau jour qui [F]ɾayonne
Et l’amour me gagne
C’est un nouveau jour

De mes blessures de mes absences
Du plus profond de mon [C7]silence
Je ɾeviens, je ɾeviens de loin
Des jours sans nuit et sans sommeil
De longs étés sans voir le soleil
Je ɾeviens, je ɾeviens de loin
De loin, (je ɾeviens de) loin
(Je ɾeviens de) je ɾeviens de loin
(Je ɾeviens de) de loin
(Je ɾeviens de) de loin
(Je ɾeviens de) je ɾeviens de loin
(Je ɾeviens de) de loin
(Je ɾeviens de) de loin
(Je ɾeviens de)

De mes blessures de mes absences
Du plus profond de mon [C7]silence
Je ɾeviens, je ɾeviens de loin
Je ɾeviens, je ɾeviens, je ɾeviens de loin
Je ɾeviens, je ɾeviens, je ɾeviens de loin
Je ɾeviens, je ɾeviens, je ɾeviens de loin