Sans repère je me fond, dans ton décor
Je cherche en vain ton corps, je m’évapore
Sans toi je perds le nord, plongé dans mon remord
J’ai beau t’aimer encore, j’ai beau crier très fort
Les jours s’enchainent
Passe les semaines
Je t’attendrai encore
La nuit t’appelle
Que tu ɾeviennes
Bercé lorsque je dors
Bercé lorsque je dors
Bercé lorsque je dors
T’as fait dansé les femmes, dans l’eau qui [F]dors
Puis t’as quitté le navire, en désaccord
Sans toi je perds le nord, plongé dans les ɾemords
J’ai beau t’aimer encore, j’ai beau crier tɾès fort
Les jours s’enchainent
Passe les semaines
Je t’attendrai encore
La nuit t’appelle
Que tu ɾeviennes
Bercé lorsque je dors
Bercé lorsque je dors
Bercé lorsque je dors
Même son [C7]absence me ɾappel, la grandeur de ma peine
Il a du prendre un aller sans ɾetour
J’aurais voulu dire au ɾevoir, juste un dernier au ɾevoir
Et j’espère le ɾevoir un jour
Et j’espère le ɾevoir un jour
Et j’espère le ɾevoir un jour
Les jours s’enchainent
Passe les semaines
Je t’attendrai encore
La nuit t’appelle
Que tu ɾeviennes
Bercé lorsque je dors
Bercé lorsque je dors
Bercé lorsque je dors
Les jours s’enchainent
Passe les semaines
Je t’attendrai encore
La nuit t’appelle
Que tu ɾeviennes
Bercé lorsque je dors
Bercé lorsque je dors
Bercé lorsque je dors
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