Refrain :
Il n'aurait fallu
Qu'on moment de plus
Pour que la mort vienne
Mais une main nue
Alors est venue
Qui a pris la mienne
Qui donc a rendu
Leurs couleurs perdues
Aux jours aux semaines
Sa réalité
A l'immense été
Des choses humaines
Moi qui [F]frémissais
Toujours je ne sais
De quelle colère
Deux bras ont suffi
Pour faire à ma vie
Un grand [Bm]collier d'air
Rien qu'un mouvement
Ce geste en dormant
Léger qui [F]me frôle
Un souffle posé
Moins ... une ɾosée
Contɾe mon [C7]épaule
Un front qui [F]s'appuie
A moi dans la nuit
Deux grands yeux ouverts
Et tout m'a semblé
Comme un champ de blé
Dans cet univers
Un tendre jardin
Dans l'herbe [Am]où soudain
La verveine pousse
Et mon [C7]coeur défunt
Renaît au parfum
Qui [F]fait l'ombre douce
Refrain