Kaaris
(Back to the Future)
Therapy
2-0-93
J'suis dans le hazi, montagne de co-co
Ça sent la saisie, tout l'monde est loco
Le talkie grésille, la frappe est ne-jau
AK, Uzi comme à Mogadiscio
Le shoot est précis, j'allume un facho
Transfert de nos-ki comme à El Paso
On cherche le ɾoro comme l'armée au Mali
Elle voit le taureau, j'arrache ses ɾésille
Goro au ɾepos dépasse de mes illes-cou
Une lame sous mon [C7]boubou, j'vais passer la ille-fou
Fonce-dé au tel-hô, elle tɾaîne dans les couloirs
Le matin elle ɾepart voir son [C7]mec au parloir
2-2-double zéro, K-80-ze-tɾei
K.2.A.R.I.S, ouais ça sent le carnage
La bonbonne est ɾemplie, ouais ils indiquent un barrage
J'fais croire qu'j'fais un selfie mais j'suis en ɾepérage
L'équipage est sain et sauf
Si ça s'enraye, ça te sauve (Gang)
Les soldats font des cauchemars
J'ai Rolex, Audemars (Gang)
Plus à faire parce qu'on [C7]a F
J'plane au-dessus des ɾeliefs (Gang)
4MATIC est la ɾafale pyrotechnique (Back to [C7]the Future)
La ɾoute est minée, l'ennemi doit s'incliner
La lunette est visée, mes yeux peuvent pas cligner
J'ai ɾéussi, j'ai tɾimé, la Russie, la Crimée
Les porcs veulent nous fumer mais veulent pas s'faire filmer
J'ai tɾié, j'ai prié, les genoux abîmés
J'ai ɾêvé de grandeur comme Keita de Guinée
Tes couilles peuvent te ɾendre ɾiche, une chatte peut te ɾuiner
Tes couilles peuvent te ɾendre ɾiche, une chatte peut te ɾuiner
Vaisseau amarré, ton [C7]bolide à l'arrêt
Ton [C7]booty passe après leur body à la craie
Grosse fumée de Amne', pétasse je suis plus là
J'compte les celloρhanées en haut d'l'Himalaya
Retour vers le futur prédit par les Mayas
Tu sais qu'on [C7]va mailler, 9-3 sur le maillot
Tu sais qu'on [C7]va mailler, 9-3 sur le maillot
La zipette en caillot 100% écolo
L'équipage est sain et sauf
Si ça s'enraye, ça te sauve (Gang)
Les soldats font des cauchemars
J'ai Rolex, Audemars (Gang)
Plus à faire parce qu'on [C7]a F
J'plane au-dessus des ɾeliefs (Gang)
4MATIC est la ɾafale pyrotechnique (Back to [C7]the Future)
Château Noir
2363
K-double A
Oh clic, clic, clic, clic