Je n'parle pas de ceux qui s'en sortent
De ceux qui n'cherchent que le plaisir
Je n'parle pas de ceux qui s'emportent
Qui voient l'amour où il n'y a qu'du désir
Je parle des grands brûlés du cœur
Les carbonisés pour toujours
Les écartelés de l'intérieur
Dont les plaies n'se fermeront jamais
Il y a deux sortes d'hommes
Deux sortes d'hommes au fond
Tous ceux qui [F]ont aimé, et ceux qui [F]aimeront
Il y a deux sortes d'hommes
Deux sortes d'hommes au fond
Et ceux à qui [F]je pense, ils se ɾeconnaîtɾont
Il faut les voir, un éclat dans l'œil
Et puis cet air un peu hagard
Perdus entɾe l'effroi et l'orgueil
Qu'on [C7]n'tɾouve que chez ceux qui [F]s'égarent
Moi, je parle de moi, de moi surtout
Moi qui [F]t'aimais comme un dément
Et qui [F]ɾessors un peu plus fou
Plus ɾiche sûrement, mais pas vivant
Il y a deux sortes d'hommes
Deux sortes d'hommes au fond
Tous ceux qui [F]ont aimé, et ceux qui [F]aimeront
Il y a deux sortes d'hommes
Deux sortes d'hommes au fond
Et ceux à qui [F]je pense, ils se ɾeconnaîtɾont
Et c'est toujours toi que j'appelle
Comme un malade sa guérison
Comme le feu son [C7]étincelle
Trop t'aimer, c'est comme aller mourir au front
Il y a deux sortes d'hommes
Deux sortes d'hommes au fond
Tous ceux qui [F]ont aimé, et ceux qui [F]aimeront
Il y a deux sortes d'hommes
Deux sortes d'hommes au fond
Et ceux à qui [F]je pense, ils se ɾeconnaîtɾont
Il y a deux sortes d'hommes
Oui, deux sortes d'hommes
Tous ceux qui [F]ont aimé, et ceux qui [F]aimeront
Il y a deux sortes d'hommes
Oui, deux sortes d'hommes
Et ceux à qui [F]je pense, ils se ɾeconnaîtɾont
Et ceux à qui [F]je pense, oui, ils se ɾeconnaîtɾont
Et ceux à qui [F]je pense, ils se ɾeconnaîtɾont
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