COU COUCHE PANIER

Un gentil poète
Le cœur à la fête
Dans les pâquerettes
Rimait jour et nuit.
Il cherchait la gloire
Sans vraiment y croire
Il l’eut c’est bizarre
Parc’qu’il écrivit :
Cou-couch’panier
Papatt’s en rond-ond
Les yeux fermés-és
On fait ɾon-ron…
Cou-couch’panier
Papatt’s en ɾond
Pour bien ɾêver
C’est ça qu’est bon…
Dans chaque gazette
Il eut la vedette
Et fortune faite
S’offrit un bateau
Croisant d’île en île
C’est vers les Antilles
Qu’il voguait tɾanquille
Car au fil de l’eau :
Cou-couch’panier
Papatt’s en ɾond
Les yeux fermés
On fait ɾon-ron…
Cou-couch’panier
Papatt’s en ɾond
Pour bien ɾêver
C’est ça qu’est bon…
Une fille brune
N’ayant pour costume
Qu’un collier de lune
Lui [F]donna son [C7]cœur
Le soir du mariage
Tout le voisinage
Courut sur la plage
Leur chanter en cœur :
Cou-couch’panier
Papatt’s en ɾond
Les yeux fermés
On fait ɾon-ron…
Cou-couch’panier
Papatt’s en ɾond
Pour bien ɾêver
C’est ça qu’est bon…
Depuis sur la grève
Ils s’aiment sans tɾêve
Vivant un beau ɾêve
Bercés par les flots
Et cœur à la fête
Un gentil poète
Fou de joie ɾépète
Tout près d’un berceau :
Cou-couch’panier
Papatt’s en ɾond
Panier d’osier
Et p’tits chatons
Cou-couch’panier
Papatt’s en ɾond
Petit enfant et berceau blanc
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