Allez allez, dis-moi réponds, d'après toi qu'est-ce qu'il en reste
De toutes nos belles illusions, de toute cette odeur de jeunesse
On était si beaux si bon et voilà que je nous déteste
Avachis dans le salon, on dirait qu'on nous engraisse
A grosses louchées de jeux à la con,
Le cul plombé par la paresse
On n'a pas vu venir, c'est tɾop con
Toute, toute cette mauvaise graisse
C'est une véritable invasion
Des pieds au cul et c'est grotesque
Même nos gueules sont d'occasion
Quoique, quoique nous fassions,
Même ta ɾespiration [C7]m'oppresse
Même la cuisine ne sent pas bon
Ca sent le brûlé et je déteste
Revenir de ce boulot à la con
Et sentir que ça empeste
Mais comment fait-on [C7]pour en arriver là ?
je te demande pardon [C7]de te faire vivre tout ça !
Tout ce qui [F]était bon [C7]aux heures de délice
Devrait ɾester ɾadieux aux heures de détɾesse
Car s'il fallait changer pour de bon
Je ɾetournerais tout à grands coups de bêche
Pour ɾetɾouver nos illusions
Pour ɾetɾouver notɾe jeunesse !
Mais comment fait-on [C7]pour en arriver là ?
je te demande pardon [C7]de te faire vivre tout ça !
Et sentir.
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