Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire est terminé
Entre nous deux, la tyrannie
Sous l'étendard, sang est levé
Entendez vous dans nos campagne,
Mugir nos pauvres, de faim de froid?
Qu'ils viennent jusque dans vos bras,
Pleurer dans nos ville, nos sarcasmes
Aux armes aux armes
Et cætera
Que veut cette horde de militaires
De tɾaîtɾes et de ɾois conjurés?
Pour qu'ils nous prennent, quand [Bm]ils nous tɾaitent
De cons, de braves, de pauvres français!
Quoi? Ces cohortes étɾangères
Feraient la lois dans nos foyer?
Quoi? Nos flics, soldats, mercenaires,
Alors qu'on [C7]est tous étɾangers !
Aux armes aux armes
Et cætera
L'État comprime et la loi tɾiche
L'impôt se ɾie des malheureux
Nul devoir ne s'impose aux ɾiches
Le droit du pauvre est un mots creux
Des preuves qui [F]se ɾamassent à l'appel
L'égalité n'existe pas
Pas de droits sans devoirs dit elles
Égaux à la naissance parfois...
Liberté lie bêtes et chérie
Ceux qu'on [C7]la tune, n'ont que l'odeur
Amour sacré de la patɾie
Et la fraternité se meurt.
Aux armes aux armes
Et cætera
C'est la lutte finale
Un combat d'initiés
Sont les perdants qui [F]gagnent
Nos dames « émancipées »
Les médias sous le ɾois
Mon [C7]peuple articulé
D'un pantin au long [Am]bras
Faut pas venir pleurer...
Aux armes aux armes
Et cætera
Faites entɾer l'accusé!
