Légère, un souffle, un soupir,
Bon vent, ne saurait mentir,
Sur mon cou,
J’te reconnais
C’est la nuit,
Tu es déjà là
Un réverbère est passé sur moi,
Mon ami,
Depuis toujours
Je le concède,
On se ɾessemble,
Tu me précèdes,
Je te seconde
Inséparables jusqu’au bout
De là ou personne ne me voit
Ou personne d’autɾe que moi
Ami, ami, jusqu’au bout de mes pas
C’est tellement mieux comme ça
Qu’il n’y ait que toi et moi
Le vendredi lorsque je sombre
Seul avec toi mon [C7]ombre
Muette, et secrète à la fois
Mon [C7]africaine qui [F]ne me parle pas
Mon [C7]amour
Ni au nord ni au sud
Du fond de ma solitude
Tu me couvres
Un chandelier dans la pénombre
Pour que tu apparaisses mon [C7]ombre
La seule qui [F]jamais ne me tɾahit là
Où personne ne me voit
Où personne d’autɾe que moi
Ami, ami jusqu’au bout de mes pas
C’est tellement mieux comme ça
Qu’il n’y ait que toi et moi
Le vendredi lorsque je sombre
Seul avec toi mon [C7]ombre
Je le concède on [C7]se ɾessemble
Tu me précèdes
Je te seconde
Inséparables jusqu’au bout de là
Où personne ne me voit
Où personne d’autɾe que moi
Ami, ami jusqu’au bout de mes pas
C’est tellement mieux comme ça
Qu’il n’y ait que toi et moi
Le vendredi lorsque je sombre
Seul avec toi mon [C7]ombre