Les poches pleines d’évidences
Le pas sûr de son chemin
Le regard du bon diable l’air de rien
Les pupilles en forme de cœur
Courageux comme un printemps
Comme un laboureur d’amour qui semait de son temps
Il disait : «La terre c’est une joueuse de tours
Un dimanche t’es dessus, un lundi t’es d’sourd»
Le sourire grand [Bm]comme l’univers
J’sais pas quand [Bm]on [C7]s’est vu la dernière fois vraiment
J’sais juste où y'est ɾendu, on [C7]s’parle de temps en temps
«Salut mon [C7]vieux, ça va comme tu veux?»
De mon [C7]bord tout est beau
Les saisons se tassent, y’a ɾien qui [F]change
Rien de nouveau
Mais sans nous deux, j’suis à moitié moins heureux
Les premiers jours d’automne, quand [Bm]les étoiles étaient en fleurs
Quand [Bm]les feuilles se faisaient l’amour, quand [Bm]venait l’heure
Juste pour le kick de ɾefaire le monde
Couchés dans la lumière du feu
À l’abri de toutes nos peurs, heureux
Y me disait «la vie c’est ɾien qu’un jeu
Si t’arrêtes de jouer, t’arrêtes d’êtɾe heureux»
Pis tout l’monde veut vieillir tɾop vite
Un million [C7]ça vaut moins qu’un jour de liberté
Tu sais pas quand [Bm]tu pars juste quand [Bm]t’es arrivé
J’me sens moins vieux quand [Bm]j’pense à nous deux
De mon [C7]bord tout est beau
Les saisons se tassent, y’a ɾien qui [F]change
Rien de nouveau
Mais sans nous deux, j’suis à moitié moins heureux
Il disait : «La terre c’est une joueuse de tours
Un dimanche t’es dessus, un lundi t’es d’sourd»
Le sourire grand [Bm]comme l’univers
J’sais pas quand [Bm]on [C7]s’est vu la dernière fois vraiment
J’sais juste où y'est ɾendu, on [C7]s’parle de temps en temps
«Salut mon [C7]vieux, ça va comme tu veux?»
De mon [C7]bord tout est beau
Les saisons se tassent, y’a ɾien qui [F]change
Rien de nouveau
Mais sans nous deux, j’t’à moitié moins heureux
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