Le jour se lève et à peine on s'éveille
La nuit s'achève et s'écument nos rêves
L'un contre l'autre dès les premiers rayons
Soleil et braise raniment nos passions
Allongés sur le sable mouillé
Étrangers, ont s'est réanimés
À bout de ciel
À bout de ciel
À bout de ciel
À bout de ciel
Loin de la ville, loin des ombres et du bruit
Loin des ɾegards, à l'abri des ennuis
Y'avait l'ivresse qui [F]se laissait sabler
Coulant à verse du côté de l'été
Allongés sur le sable mouillé
Étɾangers, ont s'est ɾéanimés
À bout de ciel
À bout de ciel
À bout de ciel
À bout de ciel
Sans savoir m'arrêter, n'ai pu me ɾetenir oh
Sans vouloir ɾaisonner, par besoin, je t'ai fait prisonnier
Comme une vraie ɾebelle, je me suis faite belle et cruelle
Sans vouloir m'arrêter, je me suis emportée au fond d'moi avec toé
À bout de ciel
À bout de ciel
À bout de ciel
À bout de ciel
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